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Alfred m’a offert un séjour d’une semaine de vacances, nous avons pris l’avion direction les caraïbes.
Il y a deux jours que nous sommes arrivés dans cet hôtel paradisiaque, ou l’on pratique le nudisme intégral. Alfred a voulut faire chambre à part. Ma chambre au rez-de-chaussée donne directement sur la plage, la grande baie vitrée laisse entrer le soleil à flot, l’océan d’un bleu merveilleux scintille à perte de vue.
Je suis nue sur mon grand lit blanc.
Je commande une de ces délicieuses boissons, dont ils ont le secret. Mais bercée par une douce musique et le clapotis du ressac, je m’endors.
Le garçon de service qui apporte ma commande, frappe doucement à la porte-fenêtre grande ouverte. C’est le Directeur de l’hôtel, un créole, très bronzé presque noir, il doit avoir environ soixante dix ans . Son crâne dégarni est entouré de cheveux blancs crépus. Des sourcils blancs et broussailleux surmontent des yeux noirs enfoncés dans ses orbites. Son visage aux bajoues tombantes, couvert de rides a un mauvais rictus lorsque son regard se pose sur moi. Sa taille ne dépasse pas un mètre soixante.
Il est seulement vêtu d’une veste blanche qui déboutonnée sur un ventre aux bourrelets graisseux, s’arrête sur ses hanches. Son sexe noir, énorme pend entre ses cuisses. Il est circoncis, le bout de son gland large et évasé lui arrive presque au niveau des genoux. Il a rasé ses poils pubiens, ce qui met en valeur ses deux testicules qui emplissent son scrotum ridé. N’obtenant pas de réponse, il entre.
Je dors couchée sur mon côté droit, les bras étirés au-dessus de ma tête, les jambes à demi-repliées.
Ackbar, ne se formalise pas de me voir ainsi, il a l’habitude que les touristes se promènent dans l’hôtel dans le plus simple appareil, c’est un établissement ou l’on pratique le nudisme intégral, c’est d »ailleurs pour cela qu’Alfred l’a choisi.
— Mais… à bien y regarder de près, cette fille est vraiment magnifique, se dit le patron.
Il m’a repéré à mon arrivée. Il regarde mes cheveux blonds qui s’étalent sur la blancheur du lit, mon petit nez retroussé, mes seins parfaits ni trop gros, ni trop petits, mes cuisses fines, mais musclées…. ma chatte rasée. Tout cela est parfait et excite ses sens.
Il s’avance pour déposer la boisson sur la table jouxtant le lit.
Je me retourne sur le dos, et écarte les jambes, lui dévoilant ma chatte exempte de toute pilosité. Mes lèvres entrouvertes laissent entrapercevoir le rose de l’intérieur de mon vagin et deviner mon clitoris. Il se fige plateau à la main devant ce magnifique spectacle.
Ma tête se met à dodeliner de droite à gauche, des soupirs sortent de ma bouche.
— Elle doit rêver, se dit-il…
Il s’approche encore plus près, pose son plateau sur la table sans bruit. Sa tête surplombe ma poitrine, il s’aperçoit que mes aréoles se couvrent de chair de poule, que mes tétons doublent de volume et s’érigent en deux petits cônes bruns.
J’ai un soubresaut, lançant mon basin en avant. Je dors toujours.
— Elle doit faire, un rêve érotique…. pense le gros homme.
Des murmures sortent de mes lèvres, il tend l’oreille.
— Ooooohhhhhh ouuuuuiiiiii…. ouiiiiiiiii….. prend moi, prend Ataşehir travesti moi…. Gérald… Je veux sentir ta grosse bite noire au fond de moi…
Mon bassin se trémousse… Je me caresse les seins, les yeux globuleux d’ Ackbar se fixent sur ma chatte. Elle est mouillée, une petite tâche de foutre s’étale sur les draps. Ce qu’il vient de voir ne l’a pas laissé insensible, son phallus est arrivé doucement en érection totale, le bout plus haut que son nombril… Le dimètre du rouleau noir doit avoisiner les six centimètres.
« Je veux sentir ta grosse queue au fond de moi… » ces paroles l’ont plus qu’excité!
Je me tourne sur le côté, tout en continuant à gémir. Je suis au bord du lit, lentement, il met son genou gauche sur le matelas, sa main droite guide sa bite énorme vers ma chatte. Son gland écarte les grandes lèvres de ma chatte humide, il en entre doucement la moitié, surveillant ma réaction. Seul un soupir de contentement sort de ma bouche. Il s’enhardit, et pousse lentement, ma lubrification facilite son intrusion. Il a entré la moitié de sa bite monumentale, lorsque j’ouvre les yeux. Il pense que je vais hurler…. Mais dans un râle de plaisir je hoquette, perdue dans la continuité de mon rêve érotique.
— Ooooohhhhhhh, putain ce qu’elle est grosse… Doucement… Doucement… continue… ouiiiii
Je me mets sur le dos, lui présentant mes seins fermes aux aréoles durcis et aux tétons turgescents, rassuré de ma réaction Ackbar me tire lentement vers lui, les fesses au bord du lit, et enfile avec douceur le reste de son colossal phallus puis ne bouge plus. Il sent les contraction de mes parois vaginales lui enserrer la bite, c’est délicieux. Il se penche, sa langue se met à lécher frénétiquement le bout de mes seins. Je hurle de bonheur, Sa langue me procure des sensations merveilleuses, des ondes électriques partent de mes tétons et viennent se concentrer dans mon bas ventre, il mordille la pointe de mes mamelons, puis les aspire à tour de rôle.
Je m’abandonne complètement sur le lit en roucoulant. Le gros créole saisit d’une main ma cuisse droite et de l’autre ma hanche opposée, et commence des va-et-vient d’une amplitude et d’une vitesse folle, je crie, le supplie de ne pas s’arrêter, il me besogne ainsi longtemps, je n’arrive plus à reprendre son souffle. Il me repousse sur le lit et d’un bond y grimpe, toujours la bite enfoncée au plus profond de ma chatte chaude et trempée. De sa grande bouche, il m’embrasse fougueusement, sa langue fouille ma cavité buccale, nos salives se mélangent.
Le plaisir monte partant de ma chatte et se propage délicieusement dans tout mon corps. Je sens que mon partenaire n’est pas loin d’éjaculer, je remonte mon buste, l’attire à moi de toutes mes forces, plaque sa tête hideuse sur son épaule et au moment ou les contractions de l’énorme pénis font trembler ma chatte, je m’ouvre à mon plaisir total, mon orgasme me tétanise contre le gros directeur.
Il me tourne sur le côté, le trop-plein du sperme gluant et blanchâtre coule sur mes cuisses.
—Alors Trixie, tu as aimé? Trixie c’est bien ainsi que tu t’appelles? J’ai lu ta fiche d’inscription, tu as l’air d’une très jolie salope!
Je le Ataşehir travestileri regarde, je prends conscience de son apparence, il est vraiment, mais vraiment affreux… J’ai un hoquet de répulsion de m’être laissée baiser par un tel individu aussi laid. Mais je mens si je dis que sa grosse bite n’a pas assouvi mes désirs…
— Oui … oui j’ai aimé… ta bite est monstrueuse, et j’ai joui énormément… dis-je du bout des lèvres!
— Tu en veux encore?
Il me bloque toujours sur le lit, son énorme queue toujours aussi raide pénètre à nouveau ma chatte gluante de sperme. Puis il semble se raviser. Il me tourne sur le côté, crache sur sa bite et veut envahir mon anus. Sans ménagement il me met sur le ventre, il monte à califourchon sur mes reins, il attrape mes seins, les malaxe, les pétrit me tirant le buste en arrière pour que sa sodomie soit la plus profonde possible. Sa langue râpeuse lèche ma nuque. Il me murmure des insanités à l’oreille, me traitant de petite pute, que je suis la reine des salopes, bien d’autres choses encore plus salaces … qu’il va me déverser encore son sperme gluant dans le cul. Le plus fort c’est que cela malgré ma répulsion m’excite. Vaincue par la luxure, je lui demande d’aller plus vite et plus profond… Nos ébats nous font tomber sur le sol, il me couche le buste sur le lit, puis il lui m’attrape les cheveux et me tire la tête en arrière. Il éjacule a nouveau une quantité phénoménale de liquide séminal dans mon anus distendu.
Je commence à fatiguer, je suis toujours à genoux le sperme gluant coule de mon anus le long de ma cuisse jusqu’à mon genoux… je récupère ainsi plusieurs minutes…
Je m’assieds sur le lit, boit le cocktail qu’il m’ a apporté…
— Ça va? lui demandai-je? Tu as bien joui? Je peux aller prendre une douche?
— Mais oui, vas-y lui répond-il avec un sourire narquois sur sa face hideuse, car il vient discrètement de verser une dose de bois bandé dans la boisson. Laisse la porte ouverte que je puisse regarder… ce joli spectacle..
La douche fraîche décontracte mon corps aux muscles raidis, je laisse longtemps couler l’eau sur ma peau, le gros Directeur hideux, est toujours là, épiant le moindre de mes gestes. Cela ne me gêne pas qu’il me regarde, il sera bien obligé de partir pour aller travailler. Je me savonne pendant de longues minutes, me rince, écarte les lèvres de ma chatte pour bien évacuer le sperme, j’introduis mon majeur, je le ressors gluant de sperme. C’est alors que ma libido reprend le dessus. Le liquide séminal d’un homme, c’est comme un aphrodisiaque pour moi. J’en aime tous les aspects, la chaleur, le goût unique, vraiment tout, même l’odeur. J’aime même avaler le sperme. Certains hommes ont un liquide séminal très épais, d’autres sont plus aqueux. Certains ont vraiment l’air d’exploser quand ils jouissent, d’autres sont juste baveux. Ce n’est pas seulement que le sperme de chaque homme a un goût différent, mais aussi que le goût d’un homme peut varier fortement. Parfois, c’est très visqueux et ça me brûle un peu au fond de la gorge. D’autres fois, c’est un peu sucré et pas du tout épais, mais vraiment aqueux. Je porte mes phalanges à ma bouche et les suce, je recommence Travesti ataşehir plusieurs fois ce manège, pourlèche mes doigts couverts de sperme, le goût n’est pas désagréable, cela m’excite encore.
Puis, le majeur et l’index de ma main gauche se retrouvent dans ma chatte, tandis de le majeur de ma main droite caresse mon clitoris en petits cercles concentriques, mon vagin devient humide à nouveau, ce n’est pas l’eau de la douche! J’ adjoins mon annulaire, puis mon auriculaire aux doigts qui sont dans ma chatte. Trouvant que ce n’est pas suffisant pour calmer mes ardeurs, mon pouce les rejoint, et lentement en regardant langoureusement le créole hideux qui ne me quitte pas du regard en ricanant, j’entre entièrement et ressort plusieurs fois ma main dans ma cavité vaginale. Je veux le défier, n’ a-t-il pas éjaculé deux fois, cela fait maintenant plus de trois quart d’heure…
— Allez Salope, viens ici, viens prendre ma grosse bite… Cela t’étonne, que je tienne cette cadence! J’ai pris la “pilule du week-end” et les effets du Cialis peuvent durer jusqu’à 36 heures, super ce médicament!
Le corps encore ruisselant d’eau, toute volonté anéantie par la luxure qui m’a envahi à nouveau, je me dirige vers le répugnant et repoussant personnage qui est assis sur le lit, son phallus monstrueux de pointant fièrement vers le plafond. Il me fait mettre de dos , enserre ma taille de ses mains aux doigts poilus, sans qu’il me le demande mon orifice vaginal vient se frotter sur le bout de son prépuce, lentement il m’appuie sur les hanches… le sexe éléphantesque glisse entre mes parois bien lubrifiées, je glousse de plaisir. Une fois que mes fesses se retrouvent en contact avec ses cuisses, les mains caleuses remontent le long de mes flancs. Je frémis sous cette caresse rugueuse. Il attrape mes seins, les malaxe jusqu’à ce que je gémisse et me tortille sur sa queue , mes tétons subissent pincements, tiraillements… c’est moi qui fait entrer et sortir le pieu rigide de mes entrailles, j’ai un rythme effréné. Je n’en peux plus, je me laisse aller en arrière sur l’épaule de mon amant hideux, il en profite pour me mordre le bout du sein droit, je crie.
Il passe sa main sous ma cuisse et la relève pour mieux enfoncer son phallus géant au tréfonds de ma chatte palpitante. Sa main agrippe mon sein gauche, il va jouir à nouveau, je sens la pulsation de son membre en moi, la puissance qui accompagne ses coups de boutoir s’est accrue. La créature répugnante aspire avec sa grande bouche la moitié de mon sein droit, son membre épais plonge de plus en plus à l’intérieur mon vagin. Je crie, je pense qu’il est entré dans le col de mon utérus, tellement il s’est enfoncé profondément. Puis mon plaisir déferle, un orgasme puissant, dévastateur comme sait en donner cette drogue, mon corps entier se raidit dans un long spasme. Mes poumons se vident de leur oxygène, chaque muscle de mon corps se contracte involontairement.
Ackbar déverse pour la troisième fois une quantité impressionnante de sperme dans mon ventre , il éjacule cette fois avec un long feulement. Je suis très étonnée qu’il puisse jouir trois fois en si peu de temps.
Puis il se lève, prend sa veste et sort de la chambre sans un regard pour moi, qui les bras en croix sur le lit, un flot de sperme gluant et blanchâtre coulant de ma chatte, essaye de récupérer de mes trois coïts effrénés.
Alfred entre par la porte fenêtre grande ouverte.
— Pas mal ta prestation, j ‘ai tout filmé, c’est parfait… merci ma petite chérie!
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