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Au retour des vacances, ce vendredi une forte canicule sévit, je revêts une robe légère. De grosses fleurs vertes et jaunes en parsèment le fin tissu. Une mince bande d’étoffe passe autour de mon cou, laisse mes épaules nues, et retient les pans du décolleté qui plonge entre mes seins. L’échancrure dorsale descend jusqu’à la naissance de mes fesses, laissant mon dos nu. La robe s’évase ensuite en corolle pour s’arrêter à mi-cuisse. Avec un tel vêtement, il est hors de question de porter un soutien-gorge, mes seins sont donc libres de toutes entraves, ils sont assez fermes pour s’en passer. C’est une robe d’été faite pour les vacances… Et comme je pratique depuis le mois de juin le bronzage intégral, au bord de ma piscine aucune marque blanche disgracieuse ne vient couper le hâle parfait de ma peau. La chaleur est accablante, je décide de la porter aujourd’hui… en me moquant du qu’en dira-t-on!
Au boulot, je retrouve Maxime, mon petit copain de l’informatique avec qui je baise depuis pas mal de temps. Il sait que l’un de mes fantasmes est de me faire sauter par un noir bien membré… Il m’a mise sur la piste de Gérald en me disant qu’il a remarqué que je ne laisse pas le grand black indifférent. Ce qui c’est révélé exact. Maxime est persuadé que j’ai fait l’amour avec celui-ci, il me questionne sans cesse pour que je lui donne les détails de mon coït avec Gérald. Bien que cela soit arrivé, je lui soutiens mordicus le contraire, et je lui ai tu mes aventures amoureuses avec mes voisins.
Il boude un peu. Il est persuadé que cela est allé beaucoup plus loin que ce que je veux bien lui raconter, et qu’il aimerait bien que je lui fasse partager la suite.
Donc Maxime, n’arrête pas me taquiner pour que j’avoue ce qui s’est réellement passé avec Gérald, le jour où il m’a laissée dans mon bureau, la jupe relevée en l’attendant, pour voir si le grand black s’intéressait à moi… Il me dit qu’il se doute qu’ensuite dans l’après-midi, lorsque j’ai fait l’inventaire seule avec le grand magasinier noir, cela a du être plus que « chaud », qu’il a du me sauter, personne ne peut résister à mes avances!
Pour mettre fin à cette bouderie, je décide de tout lui raconter. Du moins mon aventure avec Gérald, pas encore les autres, celle avec le vieux fermier et avec mes deux voisins. J’ai un peu peur qu’il me prenne ensuite pour une « Marie-couche-toi-là », ce qui me semble-il, s’avère de plus en plus exact, mon mari m’a aussi presque forcé à me faire baiser par son patron, et cela ne m’a pas déplu.
Il y a maintenant trois mois que l’inventaire n’a pas été fait. Trois mois que Gérald ne m’a plus touchée, je sais qu’il en a une énorme envie, souvent il me l’avoue au téléphone.
Cela tombe bien, car moi aussi son énorme sexe noir me manque et il faut attaquer l’inventaire semestriel. Je l’appelle donc pour lui signaler que je peux me libérer de 15 heures à 16 heures 30 pour commencer l’inventaire. Je donne rendez-vous à Maxime à 14 heures 45 au local de l’appareil à boisson. Une idée perverse germe dans ma tête!! Lui avouer ma relation avec Gérald, mais d’une certaine façon!
Juste avant de me rendre à mon premier rancard, je quitte mon string. Je suis nue sous le mince voile de ma robe. C’était vraiment osé, je me traite de folle, mais ce petit jeu m’excite. En souriant je pénètre dans le local, Maxime assit sur le banc, entouré de deux hommes boit un café. Deux de mes copines sont là et discutent debout. J’entre, le bas de ma robe froufroutant autour de mes jambes. Je m’approche pour embrasser les filles, bien dans la lumière du soleil qui inonde la pièce d’une lumière crue par la porte grande ouverte.
Je sais pertinemment ce qui se passe, la conversation des mecs cesse d’un coup. Je les regarde leurs yeux se fixent sur mes fesses, le soleil perçant le mince tissu arachnéen, les dévoile en transparence à leurs regards ébahis. Mes copines placées du mauvais côté ne peuvent rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose. J’écarte un peu les jambes, s’apercevraient-ils que j’étais nue dessous? Sûrement!
Les pointes de mes seins se tendent, ma chatte devient moite. C’est plus qu’impudique me dis-je, mais tu n’es pas sensée t’apercevoir que la lumière du soleil donne une telle transparence à ta robe…
Les deux filles s’éclipsent pour retourner au boulot, je me retourne en souriant vers les garçons, présentant mon coté pile, leurs yeux s’écarquillent encore plus. La nitescence du soleil laisse transparaître les moindres détails de mon corps, ils doivent même apercevoir juste au-dessus de la fente de ma chatte, mon petit bout de toison triangulaire épilé au plus ras. Ces deux mecs, lorsqu’ils me croiseront à nouveau, même habillée chaudement en hiver, avec ce qu’ils viennent de voir, banderont comme des ânes. Ils n’ont toutefois pas le loisir de mater bien plus longtemps, Maxime s’est levé, m’attrapant par un bras, il m’entraîne hors du rayon de soleil vers la machine à café.
— Ve…ve…vee..ux-tu un thé? Me demande-t-il.
— Oui, merci.
Les deux gars, Dikmen travesti un sourire en coin se lèvent et retournent travailler à regret, leur pause est terminée.
— Dis donc petite salope, tu le fais exprès! Tu es complètement à poil la dessous… On a tous pu le voir, ta robe est complètement transparente au soleil. C’était vachement excitant… Touche… Je bande. Alors les deux autres!!
—- Elle te plaît ma robe? Oui, je suis à poil dessous. Regarde.
Personne en vue, je dénude lentement mon sein droit en faisant glisser le tissu vers la gauche, le fixant tendrement avec un regard un brin provocateur, lui laissant admirer mon téton érigé.
— Dis donc tes mamelons sont bien tendus, je suis sûr que tu mouilles. Ça t’excite ce petit jeu de faire bander les mecs!
— Oh oui… alors!! J’en raffole! Je suis une petite salope!
Et tandis que je me penche pour prendre mon gobelet de thé, sa main passe sous ma robe entre mes cuisses et son index s’insinue dans ma chatte.
— Salope! J’ai raison, tu n’as pas de string et tu mouilles.Tu es gonflée quand même, de te donner en spectacle ainsi!
— Tu es jaloux!! Oui, moi ça m’excite… de faire bander les mecs, lui dis-je avec un petit sourire.
C’est un peu ce que je cherche, attiser sa jalousie. Pour que, lorsqu’il me baiserait, il le fasse avec un désir accru et un petit brin de vengeance. Je n’ai pas, loin de là, à me plaindre comme avec mon mari, de nos ébats sexuels. Mais un peu de piment supplémentaire, est toujours bon à prendre et comme il me questionne beaucoup sur mes éventuelles relations avec Gérald, je vais profiter de la situation.
— Ah, Ah…Maxime, est donc jaloux!
— Mais non, ça me plaît beaucoup de te voir faire bander les mecs, et tant mieux si ça t’excite! Mais là ça frôle l’indécence. Au début j’ai cru que tu ne te rendais pas compte de la transparence de ta robe… Mais si! c’est fait exprès, tu es une petite salope vraiment perverse!
— Bon, Tant mieux. Tu n’es pas jaloux! Car je vais retrouver Gérald, au magasin en sous-sol! Pour commencer l’inventaire. Et à cette heure-ci, le soleil y pénètre à flot par les vasistas!
Je retourne me mettre en pleine lumière.
— Tu crois qu’il va aimer ma tenue?
— Tu vas vraiment y aller comme ça? Tu es vraiment dévergondée…
— Ben oui, mais c’est pour le boulot. Je suis obligée. Lui répondis-je avec une petite moue navrée. Et puis c’est toi qui me dit de l’exciter!
— Tu sais qu’il a envie de te sauter!! S’il ne l’a pas déjà fait.
— Ben non, mais tu sais que j’en ai envie, de sa grosse bite noire. Tu es jaloux là!
— Mais non, je sais que tu en as vraiment envie et tu vas le faire!
Il me regarde avec un air légèrement contrit. Je ne lui avouai pas encore que cela était arrivé…
Mon stratagème a l’air de marcher, je sens poindre un peu de jalousie.
— Eh bien mon petit chéri… Tu es jaloux du grand noir? C’est toi qui m’a dit qu’il avait une bite énorme. C’est toi qui m’a fais jouer à des jeux érotiques dans le local de la lingerie devant son bureau, c’est encore toi qui m’a dit de lui montrer ma chatte au bureau à la pause déjeuner, il est vrai que je t’ai dit que les noirs ne me laissaient pas indifférente et c’est la vérité. Allez, quelle heure est-il? 15 heures! C’est l’heure. Promis, dans une heure trente, je passe dans ton bureau. Je te raconterai, patience.
— Donc tu as envie de te faire baiser!!
— Qui sait… À toute à l’heure… Regarde, ma chatte coule.
Je soulève le bas de ma robe pour lui montrer, bien qu’il l’ait déjà remarqué, que je ne porte aucun string, et lui envoyant un baiser du bout des lèvres, je tourne les talons
La porte du magasin est fermée à clef, un panneau indique « Fermé pour cause d’inventaire » y est apposé. L’accès est interdit pensai-je, en souriant, mais pas seulement pour cause d’inventaire!! Je toque suivant le code établit. La porte s’ouvre.
— Entre vite me dit Gérald en jetant un coup d’œil derrière moi pour voir si le couloir est désert.
La serrure cliquette deux fois… nous sommes seuls!
— Ça fait longtemps, la dernière fois me dit-il, en me faisant une bise appuyée, je crois que je me suis masturbé tous les jours en pensant à toi.
Je le regarde l’air amusée par ce qu’il vient de me dire, il est vêtu d’une blouse bleue genre trois-quarts qui ne descend pas plus bas que le haut de ses cuisses. Il est nu dessous son énorme sexe pend mollement, plus loin que la moitié de sa cuisse musclée. En pensant que ce mandrin noir gigantesque va bientôt entrer en moi, une bouffée de chaleur, part de ma chatte et se propage jusqu’à la racine de mes cheveux.
— Il fait chaud, ici je me suis mis à l’aise, en t’attendant… Me dit-il, en souriant.
Je regarde avec une petite appréhension les fenêtres accolées au plafond, qui s’ouvrent au ras du sol de la cour, de l’extérieur mais personne ne peut voir l’intérieur, par contre des puits de lumière étincelante entrent en oblique.
Je Dikmen travestileri coupe l’électricité, c’est comme si des projecteurs trouaient la pénombre. Perchée sur mes talons hauts, ondulant des fesses, je me dirige vers le premier faisceau. Face à la fenêtre, je lève les bras et m’offre à la caresse du soleil.
— Oooooh! Magnifique, on dirait que tu es nue. On voit bien que tu n’as pas de soutien-gorge. Mais tu as un string, non? La ficelle est entre tes fesses? Non… Tu ne te balades pas ainsi, nue sous ta robe?
— Et si! Il y avait Maxime et deux de ses copains à l’appareil à boisson. Regarde ce qu’ils ont pu voir. Et ça m’a vachement excité.
Je me tourne vers lui. Il me semble qu’ici dans la pénombre de la pièce, le soleil transperce encore plus le mince tissu de ma robe. Je réalise l’effet que cela a du faire au deux hommes dans le local du distributeur à café. J’écarte les jambes pour qu’il puisse se délecter du spectacle.
— C’est vrai tu es à poil!! Et tu t’offres ainsi aux regards des mecs, tu es quand même une petite Salope… Putain, que tu es belle!
Il s’avance vers moi, mes yeux ne quittent pas le balancement de sa queue, il bande légèrement, le désir a fait se rétracter son prépuce, et son gland mauve tranchant sur le noir de sa bite est à moitié découvert, excitant au possible.
— Regarde derrière toi ce que j’ai récupéré dans une salle de repos d’un atelier.
Je me retournai, un divan trône dans un coin de la pièce.
— Baisse-toi, écarte les jambes, touche le sol avec tes mains… Tu as vraiment des jambes magnifiques.
J’obéis. Ma courte robe remonte sur mes fesses, découvre la raie séparant mes deux globes bronzés, offre mon vagin à ses regards. Une goutte de foutre perle au bord de ma chatte. La lumière solaire la fait scintiller.
—Tu mouilles? Tu as l’air d’adorer te faire mater ainsi, dans cette tenue!! Putain ce que les mecs ont du bander! Tu restes ainsi, tu ne bouges pas.
Il rallume la lumière, entre mes jambes, je le regarde arriver. Il calotte et décalotte doucement sa grosse bite noire tendue à l’horizontale. Il va me prendre ainsi. Je mouille encore plus attendant avec délice la pénétration.
Arrivé derrière moi, il me passe le gland le long de ma fente, en entre un tout petit peu le bout dans mon vagin, puis il écarte mes fesses et le gland glisse jusqu’à mon trou intime. Il le promène tout autour de l’anus exerçant parfois une légère pression, mais il ne me pénètre pas. Ses mains se glissent de chaque côté de mes aisselles, et saisissent mes seins, qu’elles malaxent, tandis qu’il embrasse mon dos avec passion. Il me relève et me pousse gentiment vers le divan. Il m’y couche dessus et se met à genoux.
— Quitte-moi ma blouse.
Tandis que je déboutonne les boutons, sa main passe entre mes cuisses, ma robe remonte plus haut que ma taille. Il embrasse et à lèche ma cuisse, ses doigts effleurent ma chatte.
Je lui quitte la blouse, et lui caresse doucement le dos, son torse noir brille sous la lumière des néons. Je passe la lanière du haut de ma robe par-dessus ma tête et lui présente mes deux seins, sa bouche avale aussitôt entièrement mon aréole droite, et ses lèvres tirent avec force sur le mamelon qui darde, puis il s’occupe du sein gauche, mordille le bout sensible, je gémis de plaisir. Ma robe est maintenant enroulée autour de ma taille.
Sa bouche descend en un long baiser jusqu’à ma chatte, que la paume de sa main n’arrête pas de caresser. Sa langue s’attarde sur mon petit triangle de poils ras, je passe ma jambe droite par-dessus sa tête et la pose sur son dos ce qui m’écartèle. Ses grosses lèvres lippues s’emparent de mon clitoris bien dégagé par ma position, et se mettent à le téter. Ses doigts le tiennent décapuchonné tandis que sa langue en titille la base pour bien le faire durcir et gonfler. Sous cette caresse mon bassin se tortille dans tous les sens. Sa langue part de mon anus, et remonte le long de ma fente vaginale, puis redescend comme pour humidifier mon petit trou rectal, qui se relâche sous la légère pression et permet ainsi de petites incursions à la pointe de son muscle buccal.
Son index caresse mon petit trou rugueux, puis par petites pressions il l’enfonce doucement. Il entre et sort lentement bientôt rejoint par son majeur, il ajoute son annulaire et les trois doigts s’enfoncent comme pour bien retourner mon ampoule rectale. Ce traitement ajouté aux pénétrations de sa langue dans mon vagin, à la succion de mon clitoris maintenant gonflé, à ses mains qui ne cessent de malaxer mes seins, à ses doigts qui me triturent, pincent les mamelons, qui me tirent des râles de plaisir, fait que dans un gémissement permanent, je lui demande de ne pas cesser ses caresses. Ma tête tourne, je halète. Ma main part à la recherche de sa bite, je masturbe fermement la monstrueuse hampe noire qui atteint des proportions gigantesques.
— La dernière fois j’ai adoré défoncer ton petit cul, je sais, tu as aimé, me susurra-t-il. Je n’ai pas arrêté Travesti dikmen d’y penser pendant ces trois mois. Alors avant tout, je vais commencer par te sodomiser. Dis-moi que tu aimes, que tu es d’accord!
Ses grands doigts noirs entrent plus profondément en tournant dans mon anus. Je hoquette.
— Ouu…. Ouiiiiii… J’ai… J’aime ta grosse bite noire…. Fais… Fais ce que tu veux…
— Redis le… Petite salope… Je veux t’entendre dire que tu aimes ma grosse bite noire!
Ses doigts fouillent mon vagin pour bien s’imprégner de mon foutre, puis il y crache dessus pour bien humidifier mon anus, cela m’excite énormément. C’est vrai que la première fois, qu’il m’a sodomisé, j’ai adoré, et il va encore le faire. Il me fait mettre à genoux, écarte avec sa main gauche ma fesse droite, le bout de son phallus dont le diamètre atteint maintenant les cinq centimètres, fermement tenu par son autre main, s’enfonce légèrement dans mon anus distendu.
— Tu es prête?
Sans attendre la réponse, il commence à pousser, l’énorme sexe glisse lentement entre mes parois anales, il m’attrape à la taille, pour m’attirer vers lui. Je devance son désir en envoyant mon bassin en arrière. Le gros mandrin noir glisse doucement.
— Aaaahh… Salope, tu as entièrement fait entrer ma bite… Dans ton cul…
— Ouuuuiiiiiii, c’est… C’est bon…. Ta queue est merveilleuse…
Je commence à jouer des hanches d’avant en arrière, ses couilles battent mon périnée, puis je lui laisse le contrôle des opérations. Il entre et sort son phallus dans un premier temps doucement, puis il n’entre que la moitié de sa bite et d’un coup de rein brusque enfonce le reste, la ressort puis l’enfonce donnant de petits à-coups. Lorsque son pubis touche mes fesses, il ne bouge plus pour bien me laisser sentir la grosseur de son pénis phénoménal! Ma tête est enfouie dans le canapé, mes ongles griffent le tissu, je hoquette et râle de plaisir, des larmes de plaisir embues mes yeux.
— Oui, ouuuuuiiiiii, encore, encore, plus vite, enfonce bien, ouuuuiiii
— Je…. Je…. Vais… Jouuuuuuiiiiiir, cria-t-il au bout de dix minutes de ce délicieux supplice.
Il me saisit les seins, les serre et je sens les soubresauts de sa queue déversant son sperme dans mon cul. Je ne peux pas me retenir plus longtemps, mon plaisir est au paroxysme, je ne le retiens plus et j’explose à mon tour dans une gerbe de jouissance, mon corps électrisé par un feu d’artifice. Je ne pense pas que pendant ces trois mois, il a fait abstinence sexuelle, mais la quantité de sperme qu’il éjacule est extraordinaire. Il se retire, je me couche sur le dos, il m’embrasse longuement sa langue se noue avec la mienne. Puis, il parcourt mon corps avec de petits baisers.
Au diable le boulot. Personne ne vient nous déranger. La porte est d’ailleurs fermée à double tour. Il s’assied à côté de moi, je me tourne sur le ventre et commence à jouer avec sa bite qui maintenant est flasque et pend sur sa cuisse. La conversation roule sur pas mal de sujets, je lui avoue que depuis mes dix huit ans, je fantasme sur les noirs, pas seulement parce qu’ils ont en général un gros sexe. Mais aussi parce qu’il y a dans notre société, tout au moins jusqu’à maintenant, un tabou sur le fait qu’une blanche puisse faire l’amour avec un noir, et que cela m’excite de transgresser cet « interdit », surtout si en plus, les bites sont aussi grosses que la sienne. Il m’avoue lui aussi, en riant, que son rêve était de baiser une blanche, blonde si possible, ce qui chez un noir ne pouvait être plus basique, mais qu’il n’aurait jamais pensé pouvoir me baiser et que la réalité dépasse ses espérances. Il s’est souvent masturbé, après avoir maté mes jeux érotiques avec Maxime dans le local jouxtant son bureau, mais il n’a jamais osé, entrer pour y participer, et qu’il avait faillit éjaculer lors de son doigter dans mon bureau.
Cela me remet en mémoire, le plan que j’ai ourdi. Il faut que Gérald me baise à nouveau et qu’il éjacule dans ma chatte, l’heure tourne et je dois retrouver Maxime aux alentours de 16 heures 30 pour finaliser mon projet. En plus, c’est vendredi et la majorité du personnel quitte la boîte assez tôt pour partir en week-end. On doit, là aussi, être tranquille!
Gérald est monté comme un étalon, et il récupère aussi à une vitesse phénoménale ou alors il doit être fou de mon corps. Car un bon quart d’heure après, sa bite que je n’ai pas cessé de caresser pendant notre conversation, commence à reprendre du volume. Il se lève et frotte son membre noir autour de ma bouche.
Je regarde cet énorme mandrin avec un petit air gourmand, je tire la langue, il y pose son gland, le bout de celle-ci parcourt lentement son frein jusqu’à son méat urinal. Je mordille par à-coups sa corolle, la fait entrer dans ma bouche. Il a l’air d’apprécier mes mordillements, je renouvelle l’opération plusieurs fois, lui tirant des gémissements de plaisir.
Ma langue parcourt depuis les testicules l’énorme phallus pour l’imprégner de salive, je veux en avaler le plus possible, mais vu la grosseur et la longueur, c’est une tâche quasi désespérée que d’essayer d’en enfourner plus de la moitié dans ma cavité buccale. Mais je le suce avec application frottant sa bite sur mes seins, essayant de faire entrer mes tétons dans son large méat.
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